Ils étreignent rarement et lorsqu’ils le font, ils choisissent des mortels solides, doués d’une forte volonté et d’une très grande envie de survie.

l'étreinte
les premières nuits

l'acceptation
sources/références

Les lignées Gangrels


C’est souvent en se nourrissant qu’un gangrel donne l’étreinte. Si la proie résiste et combat, alors le candidat est satisfaisant et il aura une forte envie de survivre.

Les candidats sont aussi repérés par l’observation : rares sont les mortels a sortir la nuit.

Il existe aussi des étreintes pour punir un mortel : le mortel est étreint puis abandonné.

Un gangrel ne laisse presque jamais le choix au mortel, candidat à l’étreinte.

N.B. sur l'étreinte :

Dès le XIIè siècle, se développe, une innovation dans la façon d’étreindre un gangrel. Ce sont des meutes de gangrels qui ont recours a cette méthode.
Le mortel est étreint au centre d’un carrefour, puis le sire enterre son infant au niveau du carrefour même. La meute se cache et observe. Si le Gangrel sort seul de sa tombe et survit à sa frénésie, il sera accepté dans la meute.
Cette méthode a pu inspirer les pratiques du Sabbat.

L'étreinte


Après l’étreinte le sire disparaît, laissant le nouveau gangrel seul. Il devra survivre par ses propres moyens.

L’infant passe rarement la première nuit, la frénésie le poussant à faire un grand nombre d’erreurs.

Il devra apprendre a réfléchir seul et vite, il devra apprendre à utiliser ses griffes...

Les premières nuits


Il doit survivre au moins un hiver pour être accepté.

Si il rencontre un gangrel plus vieux, ce dernier l’aidera a survivre et lui apprendra les usages du clan. Si il appartient a une fratrie Caïnite, il n’en fera rien.

Après plusieurs mois d’instruction, un lien étroit se forme entre le professeur et l’élève. Après son entraînement, le gangrel devient officiellement un membre du clan.

L'acceptation


  • Triptyque sanglant, tome III : Les loups à notre porte (Réf : 01712)
    Par Janson Langlois, Michael B. Lee, Clayton Oliver.

Sources/Références